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La Renarde des Alpes

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La Renarde des Alpes
  • Grande amoureuse de la nature, j’ai pu me rendre compte du besoin urgent de nature dans notre société. Fort de ce constat, je me consacre à mon échelle à faire découvrir les beautés de notre monde.
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21 octobre 2012

Douceur d'un été indien.

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Chaleur et douceur sont au rendez-vous ce week end. Le jardin en profite pour s'épanouir.

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Lavandes, salades, choux, blettes ne demandes qu'a être que cueillis.

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Les lactaires délicieux sont apparus en grand nombre bien que certains soient véreux.

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Parfois, d'étranges spécimens apparaissent. Ceux-ci se sont jumelés pour ne faire qu'un.

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Les russules de Sardoine sont aussi là.

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Il reste quelques plantes bonnes à ramasser, comme la ciboulette sauvage à gauche ou les jeunes orties à droite.

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Et dans l'herbe du champs, de délicieux champignons.

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Les coulemelles, doux champignons élancés au goût de noisette.

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Les tramètes versicoles on prise une multitude de couleurs.

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Et les champignons prennent d'étranges formes.

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Et les fleurs sauvagessont encore là.

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17 octobre 2012

7000 ème visiteur.

Ce soir nous avons atteints les 7000!

Ça se fête! Merci à tous, ça me fait bien plaisir.

De plus le 7est mon chiffre... peut être lui consacrerai-je un article pour l'occasion :D

Nouveauté sur le blog, une barre de recherche où se trouve les pages, articles et tags lesplus populaires.

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17 octobre 2012

Gratin d'automne: courge et pomme de terre (version n°2).

Pour se réchauffer par se temps gris, rien de mieux qu'un bon gratin.

J'avais déjà testé une autre version (ici), mais celle-ci, toute simple et sans chichi me convient mieux. En plus, c'est "presque" diététique... "presque". J'ai calculé, il y en a environ pour 355 calories soit 177.5 par personne.

(39 kcal courge, 72 kcal pomme de terre, 46 kcal lait, 198 kcal de comté).

Vous avez dit régime?

Ingrédients (pour 2):

- Une grosse pomme de terre.

- 150 gr de courge.

- Un bol de lait.

- 50 gr de comté.

- du poivre et du sel.

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Couper en tranches fines la courge et la pomme de terre. Dans un plat à gratin, les alterner en couches successives en commençant par la courge.

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Saler et poivrer à chaque fois (oui, j'adore le poivre si on regarde la photo de gauche ^^).

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Une fois le plat remplit, couvrir de lait jusqu'à hauteur.

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Couper en petits cubes le fromage et disposer sur le gratin.

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Enfourner dans un four pré-chauffer au thermostat 7 (environ 210°C) et laisser cuire 1h30.

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Passé ce temps, couper le four (si le gratin est doré), ouvrir la porte et laisser refroidir 10 minutes avant de servir. 

MIAM!

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16 octobre 2012

Sortie en forêt 13.

A quelques lieux de Grenoble, la forêt. S'échapper pendant 3h du monde civilisé est à porté de main.

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Nous voilà donc dans les bois des Vaillants. Le départ de cette balade ce trouve dans le parc de Seyssinet, à 500 mètre de la rame de tram C (station Hôtel de ville).

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Les premiers pas se font dans un fort dénivelé, sur un chemin peu étroit où on peu facilement croiser des vttistes. Prudence.

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C'est une partie du parcours très belle, la végéation est à semi-sauvage et rocailleuse.

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Le fragon, appelé petit houx, est un arbuste qui atteint au maximum 80 cm qui est rare dans l'est de la France. Pourtant il est très abondant à Grenoble. Les rameaux munis de baies rouges se conservent longtemps dans un vase. C'es une plantes médicinale qui soigne les inflammations, les varices et le rétrécissement des vaisseaux sanguins. Les jeunes pousses sont comestibles.

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Il y a beaucoup de plantes à observer comme cette espèce de lamiaceae violette à gauche ou cette laitue sauvage et comestible à droite.

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Le troène commun est un arbuste médicinale qui servait autrefois à la vannerie. On le trouve à l'éat naturel mais aussi dans nos jardin où il fait de belles haies. Ses baies servent à la fabriquer une encre violette et une teinture jaune. Attention, toutes les parties fraîches sont toxiques.

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Le polypode commun est une fougère qui se plaît beaucoup dans les bois clairs, sur les rochers, entre les bois pourrissants.

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Ici ces trois conditions sont réunies, ce qui explique la présence des immenses colonies de cette fougère un peu partout.

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La capillaire est une fougère qui pousse en touffe. Elle aime se trouver entre les rochers, dans les talus ou les murets. Elle peut vivre très longtemps.

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Voilà un joli scarabée funèbre. Son nom vient du fait qu'il est entièrement noir, vit dans les lieux sombre et insalubre, qu'il est vecteur de moisissures et possède un liquide toxique qu'il a la capacité de projeter. Celui peut être dangereux si il est ingéré par un animal. Autrefois, on racontait que cracher sur un scarabée le faisait donner une goutte de sang avant de mourir.

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Les sédums, autres plantes échappées des jardins ont fini de fleurir. C'est une famille de plante grasse qui regroupe plus de 400 variétés.

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Une autre variété de sédum aux feuilles blanches.

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Après quelques efforts, on arrive au dessus de la ville, avec un beau panorama.

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Mais il faut encore emprunter le chemin escarpée pour avoir une vue complète.

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On entend la clameur de la ville. Une belle vue, qui montre bien comment Grenoble est enclavé dans la vallée.

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Bien que a ville soit présente, l'endroit reste sauvage, où les lézards communs et les oiseaux s'en donnent à coeur-joie.

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D'autres variétés d'arbrisseaux que je croise pour la première fois sont visibles.

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Le fusain d'Europe, bonnet d'Evêque pour les intimes, est un arbustreaux feuilles vertes qui virent au rouge pourpre à la fin de l'automne. Ses fruits sont des capsules à 4 lobres d'un beau rose indien qui s'ouvre pour laisser apapraître 2 à 4 baies oranges dorées qui sont toxiques et font le bonheur des oiseaux. C'est cette arbre qui une fois carbonisé donne du fusain. Il est aussi recherché pour la marqueterie.

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Mes premiers champignons, de petits polypores blancs.

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Un oiseau est passé à la casserole, est au vu des plumes, certainement un vieu corbeau.

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Quelques champignons sympathiques, comme ce qui semble être à droite un russule rose, qui est un pière comestible.

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Le chemin devient un peu plus calme, ouf pour les jambes.

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Quelques mycènes inconnus.

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Ceux-ci ne tarderons pas à être identifier.

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Direction la Tour sansVenin.

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Les hygrophobes perroquets sont des champignons étonnants.

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Ils peuvent être teintés de vert, de jaune, de rouge d'où leur nom de perroquet car ils rappellent le plumage de ces oiseaux.

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 La fleur de tan cendrée n'est pas bien ragoûtante. Ne vous fiez pas à son nom, c'est bien un champignon. Il se développe sous forme d'une mousse blanche sur les herbes et le bois mort. Il n'est pas comestible.

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Les lianes donnent de beaux fruits rouges.

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Il y a bien des fleurs dans le bois, comme ce mélampyre des bois à gauche ou ces fleurs jaunes à droite.

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Une jeune liane.

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Pas facile d'identifier les plantes sans leurs fleurs, je peux seulement les rapprocher de leur famille comme avec cette palnte de la famille des euphorbes à droite.

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Le nèflier sauvage est un fruit oublier, parfois nommé cul de singe.

"D'abord en extraire la pulpe, travail difficile. Je les fais cuire avec un peu d'eau, puis les écrase, les presse et filtre pour en recueillir la chair et éliminer les pépins, qui ne doivent pas être consommés."--> pour en savoir plus c'est ici.

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Quelques jolis fruits rouges.

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L'inocybe fastigié est un champignon fort toxique.

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Un vieux russule, rougé jusqu'à la moelle ou du moins jusqu'au lamelles, ce qui empêche toute identification.

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Une colonie de petits champignons jaunes, plus proche certainement des tremellas que des polypores.

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A gauche de nouveaux inconnus, à droite une vesse de loup perlée qui est un piètre comestible apprécié des limaces.

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Quelques euphorbes.

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Et on continu sur un chamin forestier bien plus large mais un peu boueux.

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Deux petits entolomes livides, qui sont vénéneux.

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Quelques jolis escargots mangés pat les oiseaux.

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Ceux-ci sont particulièrement travaillés.

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Un drôle de champignon en forme de fleur. Un beau bouquet en vu.

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La promenade mène dans une petite clairière. Quelques plantes médicinales s'y trouve comme la carotte sauvage à gauche ou l'aigremoine à droite.

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Une plume échouée.

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Certaines fleurs sont passées, à gauche de la bardane, à droite des chardons.

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Un ombrilifère inconnu au bataillon.

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Un petit coin bien sympathique.

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Autres plantes médicinales, le lamier blanche à gauche (que l'on retrouve ici) et le millepertuis, à droite.

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A droite de l'ambroisie, qui trop envahissante peut par son pollen provoquer des crises d'asme. A droite les traces d'un feu, l'endroit doit être bien fréquenté les soirs d'été.

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Le long des chemins, quelques chênes tortueux poussent.

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Pause face au paysage, sous les arbres.

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Drôle de champignon semblable au recherché mousseron de Saint Georges qui pousse au printemps. Ici il s'agit du tricholome colombette, un bon comestible. Il ne faut pas le confondre avec le tricholome blanc, un non comestible.

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Il ne faut pas le confondre avec le tricholome blanc, un non comestible.

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Étranges champignons que ceux ci, mesurant une douzaine de centimètres.

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Il ressemble à une vachote mais le chapeau est enroulé sur les bord, il ne dégage pas de lait, son pied et ses lamelles ne sont pas fusionnés et ces dernières sont blanches.

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Et que dire de ceux ci, immenses et cachés danse le lierre?

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Une vraie invasion mais impossible de leur donner un nom, du moins pour le moment.

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Leur pied et leur lamelles serrées sont liées, le chapeau est légèrement creusé et claire.

Ce n'est plus un secret, voilà le clitocybe maxima ou clitocybe très grand. C'est un comestible médiocre. Merci à l'équipe du club des cèpes, ils m'ont été d'une aide précieuse. Vous pouvez les retrouver ici: http://leclubdescepes.xooit.fr/portal.php

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Je ne suis pas la seule à avoir empruntée le chemin, les oiseaux ainsi que maître renard ont fait de même.

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Nouvelle ouverture sur le paysage, nouvelle clameur de la ville.

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Une bulbe reptans, une jolie plantes aux petites fleurs bleues de la même famille que la menthe, la sauge et les lamiers.

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Grenoble est une ville ce situant dans une cuvette, entourée des pré-Alpes et traversée par la rivière Isère.

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Au bord de la falaise, aperçu de la commune de Fontaine, commune annexe de Grenoble.

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Vue globale sur la ville.

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Bien que le secteur soit très escarpé, il y a une sécurité qui empêche les glissades.

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Je l'ai d'abords prit pour un cèpes et puis non surprise, voilà un sympathique champignon.

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Je ne l'ai pas encore identifier, on dirait une sorte de tricholome ou de cortinaire.

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Quelques petits mycènes inconnus cachés dans les feuilles.

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De même, avec à droite un russule bien rongé.

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Le mycène à pied ferme n'est pas jugé comme comestible en raison de sa petite taille.

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Drôles de champignons, tout gluants, chacun à un stade différent de la pousse.

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Deux petits bolets passés et complètement délavés par le temps ce qui empêche de les reconnaître.

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Plantes du sous bois, surement de la famille des crêtes de coq.

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L'armillaire à pied clavé quand il est jeune comme ici peu se confondre avec l'armillaire bulbeuse. C'est un mauvais comestible car son goût est désagréable. A rejeter.

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D'autres petits champignons inconnus, du moins pour le moment.

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Du lichen blanc, chose que je n'avaisjamais vu.

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Quelquesfleurs du sous bois que l'on trouve dans leschamps comme la vergerette à gauche ou cette grande plante qui fait des chatons e qui au début de l'été fait de grosses grappes de fleurs violettes.

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La forêt se couvre de couleur avec à droite cet arbre à papillon ou ces feuilles de chêne roussies à droite.

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Ce n'est pas un fruit mais une galle du chêne, à l'intérieur une larve de guêpe solitaire qui ne va pas tarder à en sortir.

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Le plutée brun d'ombre est un champignon qu'il est rare de croiser et qui pousse en solitaire. Il n'est pas comestible.

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Deux autres champignons qu'il reste à identifer... que de travail.

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A quelques mètres du chemin, une cabane dans le sous bois, sous un énorme tronc d'arbre.

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Sur un talus,poussent des petits champignons blancs par dizaines.

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On dirait des clitocybes blancs mais leur chapeau est trop immaculé pour qu'il en soient.

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C'est de là qu'à j'ailli un faisan, qui a eu la bonne idée de s'envoler sur moi... je comprend mieux le concept de "tête de piaf".

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A gauche la sauge glutineuse, aux blellesfleurs jaunes et pourpres. A droite le sceau de salomon qui en ce moment donne des fruits.

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Dans la suite de la promenade, un source qui s'urgie au coeur de la forêt.

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Et pour passer au dessus de l'eau, des ponts improvisés.

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Dans les racines des arbres, quelques champignons profitent de la mousse humide.

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Toute chose a une fin, enfn là pas encore, mais je commence ma redescente vers la ville.

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L'entolome livide, un champignon mortel, s'est établit en groupe.

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Quand à ceux-ci, énormes et aux couleurs chatoyantes, mystère.

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Deux inconnus se rajoute à la liste des identifications à effectuer.

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Une guirlande de baies rouges égayent le sous-bois. 

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Depuis le haut du chemin, une dernière vu sur la ville de Fontaine, avec en prime un aperçu de l'immence jardin commun de la commune où une cinquantaine de parcelles sont cultivées.

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Le russule sans lait porte ce nom car il ressemble à bon nombre de lactaires. C'est un comestible médiocre.

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Le russule émétique est un champignon toxique, quoi qu'en mauvaise forme ici.

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Pour finir, passage obligé entre ces deux roches énormes.

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On se croirait dans un décor de film.

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Passage devant l'éco-jardin de Fontaine, un jardin bio immense géré par plusieurs familles: http://www.ecojardins-fontainois.fr/

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Pause dans le parc de la Poya, à 400 mètres du dernier arrêt de tram. Bien qu'il soit pas bien grand et visiblement peu visité, il n'en est pas moins superbe.

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La jeune renouée du japon envahie la petite île (à gauche) qui est accessible par ce pont, où les racines des vieux arbres serpentes et donne un aspect mystique à l'endroit.

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Un canal travers le parc. Plus loin, un bassin défraîchi et presque vide accueil roseaux et joncs.

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On croirait que le temps c'est arrêté, des escaliers et des ponts surgissent de sous les arbres, et dans les bassins,des petits poissons nagent entre les îlots de vase.

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Grenouille et verrons se font discrets.

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Pas de nom pour cette troupe de champignons des villes, je pense les avoir vu sur les étales des marchants mais quand on ne sais pas, on ne touche pas.

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Pour celui-ci pas de nom aussi, et de plus il est très intrigant, il ressemble à une amanite mais n'a pas d'anneau ni de "bulbe".

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Unexemplaire de ces dôles de champignons marrons.

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 Ils forment d'immenses rond de sorcière dans le jardin de ville, mais pas une page internet ne peut m'indiquer qui ils sont. Le mystère sera retrouvé quand j'aurais mis la main sur mes livres de mycologie.

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En tout cas ils sont fort esthétiques.

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Le pied est comme on dirait, velu.

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Mon premier bolet à pied rouge sur Grenoble... entièrement mangé et pourrit comme les deux autres sur les quels j'ai mis la main.

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Voici de jeunes hypholomes couleur de brique, qui deviendront bien rouge à maturité.

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Le lactaireroux est un champignon si poivré et si amer qu'il n'est pas consomable.

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Un inconnu au chapeau doré! Impressionnant. 

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Et ceux-ci sont remarquable, pourpre autour et au centre, beige-orangé à l'intérieur.

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Deux petites vachotes, en cette période c'est rare.

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Ceux-ci sont très design, on croirait des champignons japonais.

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 Eux aussi sont des inconnus.

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Ceux là non plus n'ont pas été identifier. Ils sont imposants et forment d'impressionants ronds de sorcière également.

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Le bolet rouge est facilement identifiable à son pied et sa mousse rouge. Sa chair bleuie une fois tranchée. C'est un excellent comestible.

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Celui-là a été ravagé par les limaces.

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Le collybie à chapeau rayé est un champignon non comestible qui à la particularité d'avoir des filament de mycélium mesurant jusqu'à 1 mètre.

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Celui-ci n'est pas mal, avec ça drôle de teinte bleue-verte, son pied beige et ses lamelles marrons.

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En parlant de marrons, en voilà un tout beau tout chaud. La plupart des champignons rencontrés dans le parc poussent sous ceux-ci.

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Le temps d'un instant, prendre la taille d'un lilliputien permet de renouer avec son âme d'enfant.

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L'helvelle crépue est un champignon étrange. Il est un comestible médiocre qui est toxique cru.

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Coupé, son pied fait penser à l'intérieur d'un os ou à du cartilage.

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Celui là aussi je ne le connais pas encore. Il donne l'impression que son chapeau est duveteux. En tout cas il plaît énormément aux limaces.

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Voilà une belel promenade, pas très fructueuse je l'avoue, mais pleine de découvertes et de surprise.

15 octobre 2012

Surprise.

Gros article en réalisation ce soir, pour fêter la 10 000 ème page visionnée et le 6640 visiteurs.

Au programme: de la nature, de la nature et encore de la narture.

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15 octobre 2012

Tramète versicolor, remède du cancer de la prostate.

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C'est une grande avancée qui pourrait un jour conduire à un remède contre cette forme de cancer grace à un composant: la polysaccharopeptide.

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Ces informations qui vont suivre vient du site futura-science, l'article est ici.

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Des essaies ont été réalisé sur les souris. Le 100% de réussite a été observé avec aucuns effets secondaires mais ces souris ne sont pas des hommes.

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Les tests n'en sont qu'à leur débuts mais cela est fort encourageant pour soigner cette maladie qui tue bon nombre de personnes dans nos sociétés occidentales.

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Pour l'anecdote, la tramète versicolor porte le nom de "queue de dindon" dans bon nombre de pays car ses couleurs évoque celle de cet animal.

14 octobre 2012

Trompettes de la mort!

Les premières trompettes de la mort sont là. Difficiles à trouver en ville, elles pullulent en forêt. Cependant pas facile de les conserver quelques temps chez soi. Une méthode simple peut y remédier.

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Si comme part chez moi e soleil a fuit, l'idée de faire sécher des champignons semble plus complexe. Pas avec les trompettes. Face à une cheminée bien chaude ou sous un radiateur, étendez plusieurs pages de journaux bien sèches. Lavez les trompettes coupées en deux dans la longueur pour en sortir toutes les saletés qui ont pu s'y glisser. Étendez les sur le journal sans les superposer. Les brassant toutes les 3-4h. Au bout de 2-3 jours elles seront sèches. Attention à faire cette opération dans un endroit aéré et où il y a peu de passage car l'odeur qui s'en dégage est très forte, comme pour la plupart des champignons séchés. 

 

Et pour obtenir la même chose dans un séchoir ou au soleil, pour les blanchir, les congeler, enfin bref pour les conserver, c'est par et par .

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14 octobre 2012

Que la montagne est belle.

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En attendant d'avoir l'occasion de poster quelques nouvelles photos, voici un petit aperçu du lac du pontet sous le soleil d'automne avant qu'il ne se couvre de neige.

11 octobre 2012

Pholiote du peuplier, l'invitée de ville.

Il y a quelques temps j'ai découvert au coeur de la ville et de la cité étudiante de très beaux polypores soufrés (ici et ici).

Rebellote cette fois ci avec des délicieuses pholiotes du peuplier.

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Je ne me suis pas vraiment aventurée à rammaser ce champignon réputé pour très bon, parce que je le connais mal, et puis parce qu'il se trouve au bord de la route, là où voitures, bus et autres trams ont l'habitude de passé, et comme les champignosn ont la réputation de facilement retenir les métaux lourds, je me suis contentée de les photographier.

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Cependant dans la nature il est conseillé de les ramasser, sauf bien sûre, si on ne maîtrise pas son identification car ce sont de très bons commestibles fort prisés. Ce sont aussi les premiers champignons que l'homme a mit en culture. La pholiote du peuplier aime le bois mort, en particulier les souches de peuplier, de saule, de sureau et d'ormes.

 

11 octobre 2012

Il fait beau, on en profite!

C'est bien beau mais on en profite pour faire quoi?

Et bien pour sécher les dernières denrées pardi! Et pas des moindres, les dernières roses avant les grands froids et les gelées.

Les pétales de rose dans un peau pourri, sur une carte de noël ou posés négligemment dans un présentoir dégagent toujours un délicieux parfum. Pour les conditionner rien de plus simple. 

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Il suffit de prendre des roses en fleurs, sur la fin de leur épanouissement si on veut profiter de la floraison, presque encore en bouton si on veut conserver le parfum. On sépare délicatement les pétales du coeur, en laissant les pistils et les étamines puis on les disposent au soleil sur un grand tissus ou sur une natte végétale, en prenant soin de ne pas trop les superposer. Il suffit de les laisser 2 ou 3 jours en pleine ensoleillement, en prenant soin de temps à autre de les brasser.

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Et si il n'y a pas de soleil? pas de soucis, le même procédé peut se faire à côté d'un radiateur ou d'une bonne cheminée, du moment que l'endroit où les pétales sont entreposés est bien sec et aéré.

Pas de panique s'ils deviennent tous petits et perde une partie de leur couleur, c'est les conséquences du séchage. Pour les conserver un peut près en leur états, le meilleur moyen reste de les faire sécher espacés les uns des autres entre les pages d'un livre ou entre deux pages de journal avec des poids par dessus.

Et pour le reste? Et bien cette technique peut s'appliquer à la plupart des végétaux et convient particulièrement aux feuilles qui garde facilement leur chlorophylle comme avec ces feuilles d'eucaliptus cueillies sur un bouquet passé.

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