Anniversaire.
Aujourd’hui La Renard des Alpes a 4 ans. Vous êtes bientôt 300 000 à être passés par chez moi et ça me fait énormément plaisir. Que de projets depuis 2012, des collaborations, des sorties groupées, des expos, des ateliers … c’est formidable et c’est pas prêt de s’arrêter. Merci à tous, du fond du coeur.
Depuis l'arrivée de mon nouvelle appareil photo j'ai des dizaines et des dizaines de photos d'animaux et surtout d'oiseaux à vous présenter, j'ai hâte de vous les montrer dans les prochains articles. D'ici là je vous souhaite une bonne journée depuis la plaine du Mont Ventoux où je me trouve pour quelques jours.
La saison des morilles débute doucement chez nous mais pas de panique, je suis persuadée que dans quelques jours nous trouverons les premières, ce qui ne m'empêche pas d'êntre impatiente. En attendant au programme c'est plâtré de pézize et malgré leur odeur et leur aspect, c'est juste divin !
Le blog à la une.
Ce n'est pas moi qui le dit mais Canalblog ! Merci encore à toute l'équipe !
Cela va de paire avec les 3 ans du blog (le 26 mars exactement)
et mes 23 ans (le 23 mars). Que demander de mieux ? Le printemps
(le 21 mars) semble débuter sur les chapeaux de roues !
La prochaine étape ? Avoir un job hé hé. Et mettre à jour les
dernières aventures de La Renarde (qui comme toujours est en retard!)
Longue vie au printemps !
PS : J'en profite pour vous rappeler de faire un tour sur le site Vivre à Voiron,
pour connaître l'agenda du Pays Voironnais mais aussi les bons plans,
les lieux à voir, les sortir à faire et les actualités à suivre.
100 000 visiteurs.
Message du soir pour vous remercier d'être aussi nombreux à me suivre. Voilà la barre des 100 000 visiteurs dépassée et sincèrement je suis toujours aussi surprise de voir la courbe des visiteurs ainsi monter. La petite Renarde que je suis ne pensais pas en dévoilant quelques uns de ses coins de forêt attirer autant de monde. Depuis 2012 j'essaye de partager ma passion, mon amour pour la Nature et si possible, ma joie de vivre. Le tout je dois le reconnaître, est ponctué de nombreuses deux-trois fautes d'orthographes, de quelques erreurs d'interprétations ou d'identifications mais je travaille chaque jours à corriger cela.
J'ai lié de nombreux liens d'amitiés vers d'autres mordus de nature, de champignons, de photos, de faune et flore.... et j'en passe. Avec certains nous nous sommes perdus de vu depuis quelques temps mai je ne serai tarder de revenir vers eux. Ainsi, à tous ceux qui ont ponctué mon parcours, amis, famille, proches (sans oublier mon cher et tendre) et à tous ceux qui ont prit quelques minutes de leur temps pour parcourir les pages de ce blog, je leur veux leur dire un grand MERCI.
La Renarde.
La ferme aux crocodiles de Pierrelate.
Dernier article sur notre périple dans le Sud qui fort heureusement ne sonne pas le glas de notre voyage. Nous voilà donc à Pierrelate, plus précisément à la ferme aux crocodiles. C'est là le 29 juillet 1991, que 335 crocodiles du Nil natifs de Johannesburg arrivèrent en France après 26 heures de vols dans des caisses en bois maintenues à 27°C. Tous arrivèrent sains et saufs.
Le crocodile du Nil (Crocodylus niloticus) est l'un des plus gros reptile actuel. Mesurant en moyenne 4 mètres de long les plus gros spécimens observés en milieu naturel dépassent les 6 mètre 50 (presque aussi grands que les plus gros crocodiles marins, leurs cousins). Il peut atteindre 500 kilogrammes et vit entre 70 et 100 ans.
Mais avant de continuer la présentation de ces sympathiques crocos, petit focus sur les vedettes de la serre. Uniques en Europe deux aligators du Mississipi (Alligator mississippiensis) ont été installé dans un bassin spécialement aménagé pour leur peau sensible. Ils ne seraient guère plus d'une vingtaine à travers le monde. Pour garder leur blancheur, ils sont régulièrement lavés au savon de Marseille, chose qu'ils semblent apprécier. A l'âge adulte ils atteingnent 4 mètre de long, parfois 6 pour les plus robustes même si cela reste rare.
Revenons en aux crocodiles du Nil. Bien qu'ilssoient connus pour attraper de grosses proies comme des zèbres ou des gnous, ils chassent généralement des poissons qui forme la majorité de leur régime alimentaire. Qualifiés de mangeurs, ils tuent chaque année plus de 300 personnes bien que se nombre soit sous-estimé. En Afrique et en particulier en Afrique de l'Ouest où l'on rencontre ces crocodiliens, les attaques de crocodiles sont associées à de la magie noire et les crocos, à des esprits des eaux et non à de réels animaux.
Le crocodile du Nil est conçu pour l'affût. Ses narines et ses yeux sont placés au sommet de sa tête de sorte qu'il peut rester presque casi immergé pour attendre ses proies. Son oeil est protégé par une fine membrane à l'instar du requin blanc. Dans sa gorge, un clapet nommé gulaire empêche l'eau de rentrer par ses voies respiratoires quand il a la gueule ouverte sous l'eau. Il a une large queue qui le propulse dans l'eau et qui lui permet de faire des bonds incroyable pour bondir comme l'éclair : jusqu'à 3 mètres de hauteur en deux secondes. Rajoutons à cela leurs 70 dents acérées qui peuvent repousser 4 à 5 fois quand elles sont cassées et on obtient une formidable machine de guerre.
La ferme aux crocodiles offre une grande variabilité de milieux à ses animaux : terriers, mares, rivières, végétation luxuriante, plages de sable rouge ou de galets. Ils peuvent même sortir en extérieur... en réalité c'est le visiteur qui est enfermé dans les passerelles grillagées mais au combien sécurisantes ! Une vaste étendue d'algues permet aux crocodiles de disparaître de la vue des badauds. Dans leur milieu naturelle, les algues et micros algues sont responsables du tintement de leur peau en vert.
Longtemps chassé pour son cuire, le crocodile du Nil figure parmi les espèces protégées même si aujourd'hui la majeur partie de la population est stabilisée et que seuls les crocodiles d'élevage sont destiné au commerce pour leur chaire et pour la confection de produits de maroquinerie. Seul la peau du vente et du dessous de la tête sont utilisés, le reste étant bien trop revêche, en particulier les écailles osseuses situées sur le dos.
On rencontre ce crocodile partout dans les 2/3 de l'Afrique hormis dans le Nord et en Afrique du Sud. Très résistant et pouvant s'adapter à bon nombre de conditions, on le trouve dans les lacs, les rivière,s les marécages, les oasis et même les mares nichées au coeur du désert. Comme tous les reptiles il a besoin de régler sa température interne. Quand elle est trop base il lézarde au soleil et arrête de s'alimenter dans les cas les plus extrême et quand elle est trop haute, plonge dans l'eau pour se rafraîchir ou s'abrite dans des terriers pendant la saison sèche. Un trou peu accueillir plus de 50 crocodiles.
Le crocodile est l'un des plus anciens animaux qui parcours encore notre terre. Arrivée avant les dinosaures, il leur a survécu. Le plus gros de tous se nommait le Sarchosuchus Imperator (prononcez Sar[k]o[z]uchus... non nonce n'estpas un blague !). Vieux de 110 millions d'années, il pouvait mesurer 14 mètres pour 10 tonnes et n'hésitait pas à attaquer de grands dinosaures. En 2007 le monstre a été reconstitué devant les visiteurs et est désormais exposé dans la partie extérieure de la serre.
Le plus célèbre crocodile du Nil se prénomme Gustave. Pendant 10 ans jusqu'en 2007, ce mastodonte de 7 mètres 50 pour une tonne terrorisa le Burundi. On lui imputa plus de 300 morts. Filmé et approché par les spécialistes (il y a sur cette traque un super documentaire que j'ai adoré et vous conseille), l'animal n'aurait pas plus de 60 ans. Il a été également vu entrain de tuer et de dévorer un hippopotame adulte ... Bref, un véritable monstre. A la fin de l'année 2007, l'armée annonce par communiqué la mort de Gustave mais coup de théâtre, il réapparaît en 2010 mais ce fait très discret. Actuellement une photo d'un immense crocodile capturé par des villageois circule sur le web. Il s'agirait de notre croco... Affaire à suivre !
Autre crocodilien, l'aligator de Chine (Alligator sinensis). Il fait partie des 2 uniques espèces d'alligators au monde avec l'aligator du Mississipi. Cette espèce est en danger critique d'extinction, le braconnage et l'urbanisation ayant réduit dramatiquement les effectifs. Il resterait 200 spécimens sauvages et 10 000 en captivités ce qui pourrait être une bonne nouvelle si les programmes de réintroduction n'étaient pas des échecs.
La serre regorge de belles fleurs comme avec c'est belles orchidées Phalaenopsis. En bas à droite il s'agît d'une fleur de rose Porcelaine (Etlingera elatior) qui est, contrairement à ce que l'on peut penser, une herbacée. on rencontre aussi des plantes carnivores, des fougères, des frangipaniers ou des papirus.
La ferme au crocodiles s'agrandie (et par ailleurs fête ses 20 ans) !!! Encore en travaux, la nouvelle partie de l'édifice accueillera tous les ans de nouvelles espèces animales enplus des 370 animaux déjà présents. Cette année ce sont les lègendaires dragons de Komodo (Varanus komodoensis) qui ont fait leur entrée.
On peut aussi admirer de nombreuses tortues: tortues sillonées, tortues géantes des Seychelles, tortues de Galàpagos, tortues de Florides... on rencontre même ma tortues favorites (qui n'est pas présente en photos ici), la tortue alligator (Macrochelys temminckii). Elle est l'un des animaux à la morsure la plus puissante : 455 kg/cm². Voilà de quoi briser des os (une pression de 105 kg/cm² est suffisante pour cela).
Les petits crocodiles ne grandissent pas avec leurs parents bien que les mères crocos soient des mères attentionnées et protectrices. Dans les bassins, ils seraient des proies faciles pour les adultes qui en milieu naturel n'hésites pas à pratiquer le cannibalisme avec les petits qui ne sont pas les leurs. Il est possible d'observer à travers les vitres de la nurseries les oeufs dans l'incubateurs et pour les enfants, de caresser les bébés.
Le gavial du Gange (Gavialis gangeticus) est un animal rare en voie d'extinction. Nommé Gharial en Asie, il peut atteindre les 6 mètres de long. Les femelles atteignent la maturité sexuelle entre leur dixième et quinzième année et ne protège que très peu leurs petits . Il ne reste plusqu'une centaine de ces gavials, tous autochtones du Népal. Inoffensif pour l'Homme car de nature piscivore, il est chassé pour sa peau qui est très recherchée.
Actuellement une exposition photo est proposée aux visiteurs. De nombreux clichés sont exposés pour mettre en lumière la beauté mais aussi la fragilité de la faune et flore que l'on peut rencontrer dans les zones tropicales. On peut même voir certaines de ces espèces dans la serre.
Quelques oiseaux comme des toucans peuvent être observés. Les plus nombreux sont les hérons garde-boeuf (Bubulcus ibis). Une petite colonies de 11 individus sauvages c'est installée au début des travaux de l'édificie et ne l'ont plus quitté. Ils font actuellement partis d'un programme d'échange entre les différents parcs zoologiques. On le rencontre dans le Sud de l'Europe, dans les 2/3 Sud de l'Afrique, sur toute l'Amérique du Sud et de manière ponctuelle sur l'ensemble des États-Unis.
C'est un oiseau qui ne dépasse pas les 500 grammes et qui peut au maximum, avoir une envergure d'un mètre. Il se nourrit essentiellement d'insectes en tout genre mais aussi de grenouilles et parfois de fruits (ce qui reste rare). Il accompagne le bétail qui attire souvent de nombreuses mouches pour son plus grand plaisir et va jusqu'à manger les insectes sur la peau de animaux ce qui lui vaut le surnom de pique-boeuf. Si un animal comme un cheval ou une vache attire de nombreux rampants, il le défendra contre les autres oiseaux pour être le seul à profiter du festin. Son action protégerai les animaux d'élevage de nombreux maux et maladies.
Pendant la saison des amours, les plumes de latête, du dos et du torse deviennent orangées et le bec et les pattes orange marqué. Les juvenilles quand à eux sont blancs avec un bec gris/noir et les imamtures ont un bc jaune. La colonnie nidifit au sommet de la serre. Chaque femelle fécondée pond 2 à 3 oeufs verts-bleutés qui tirent sur le pâle dnas un nid sipmle et plat fait de brindilles.
Les ichthyosaures sont des reptiles marins proches cousins de nos crocodiles actuels. Ils sont apparût il y a 250 millions d'années et se sont éteints il y a 90 millions d'années, peu avant les dinosaures. Parmi ce genre on compte le mosasaure (que j'adore !), un monstre marin vieux de 98 millions d'années. Pouvant dépasser 14 mètres, ce prédateur se nourrissait de tout ce qu'il pouvait trouver des les océans : baleines, nautiles, tortues, calmars géants et autres mosasaures !
Voilà une belel visite en perspective où l'oin peut voir ces terribles prédateurs sous toutes les coutures dans un environnement proche de celui qu'ils pourraient connaître dans la nature. L'atmosphère est chaude et humide, la végétation homni présente. Enfant, j'ai pu voir des piranhas évoluer parmi les corcodiles et bien qu'il y ait toujours des poissons dans les bassin, il semble que ceux-ci ne soient plus les dangereux mangeurs d'hommes du fleuve.
La ferme aux crocodiles est constitué d'une serre de 8000 m² et d'un parcour extérieur de 4000m² mais d'ici la fin des travaux le lieu aura doublé sa superficie. On compte environ 1000 naissances par an. Les petits sont donnés ou échanger dans diférents parcs zoologiques du monde entier pour permettre un bon brassage génétique des espèces. Pour plus d'infos c'est par ICI. Bonne visite.
Et pour finir le périple en beauté, direction Carpentras dans la soirée pour assister à la grande dernier du festival des "Guinguettes de l'Auzon". Génial, fabuleux, génialissime ! Au programme Ceux qui marche debout et Oai Star... vivement l'année prochaine !!!!! Ainsi s'achève notre voyage... enfin presque !
Saint Victoret
Avant dernier billet sur notre voyage dans le Sud ^^ Pour le coup pas de nature ou peu mais pas mal de culture. Arrêt à Saint Victoret, complètement par hasard, où nous sommes restés au final 2 jours entiers. Accueille ultra chaleureux des élus, parcs et ville superbe même si assez "commune"... il n'y a pas à dire l'an prochain nous ne manqueront pas de nous y arrêter pour découvrir les nombreux coins qui font son charme : cours d'eau, musées, promenades et monuments en tout genre. Ce fût un véritable coup de coeur.
Mais avant passage par Marignane pour voir l'envole des avions mais aussi l'étang de Bolmon qui est à côté à la ville et qui appartient à l'étang de Berre dont il n'est séparé que par une fine délimitation de terre, le cordon de Jaï. Ses eaux sont rouges est sont encore largement polluées. Sur une plage, 70 cygnes attendent les promeneurs et leurs pique-niques. Nous ne pouvons résister à la tentation de nous en approcher.
Le musée de l'avion de Saint Victoret est extraordinaire. Moi qui ne suis pourtant pas branchée moteur pour un sous, j'ai été vite conquise. Pour 2€, il est possible de découvrir un grand nombre d'avions et d'hélicoptères grandeurs natures et qui pour la plupart ont été réstaurés par l'équipe de bénévoles du musée. On compte également plus de 5000 maquettes léguées par un passionné décédé depuis.
L'équipe se compose en grande partie de techniciens et de passionnés issus des locaux d'Eurocoptère. Adorables, ils ont apprit milles et uns secrets sur les avions et les hélicoptères. Ainsi il est possible de voir le mirage qui a servit aux essaies du moteur du concorde, la gazelle, des canadairs (dont un suspendue dans les airs à côte du musée) et bien d'autres engins. Pour tous renseignement c'est ICI et pour connaître les actualités de la ville LA. Un grand merci à ces passionnés qui nous ont fait passer une super matinée !!!
Et pour finir, spectacle !!! La ville organise cette année son premier festival d'humour : le Festi'rire. Après le Zigotamic de cette année j'étais obligée d'y courir et pour cause, l'excellent Lény Sellam s'y produisait aussi et pour tout vous dire il est toujours aussi bon. Et puis découverte d'Anthony Joubert, tout simplement magistral : fin et drôle, juste parfait. Voilà de quoi terminer notre visite de Saint Victoret en beauté avec en petit plus, les avions au dessus de nos têtes !
Bonheur de l'Ardèche.
L'aventure Avignonesque est terminée, il est temps de prendre quelques jours de vacances. Au programme: plages, baignades, dodo dans la voiture, photos et visites. 2100 kilomètre plus tard, récit de ce joli voyage à la roots.
L'Ibie est un cour d'eau superbe aux eaux turquoises et chaudes bordées de plages de galets blancs, et il y est plaisant de s'y baigner aussi bien de nuit que de jour. Merci à mon collègue Loïc de m'avoir fait découvrir ce petit coin de paradis.
La rivière de l'Ibie (à ne pas confondre avec la Lybie... bon ok je sors) se trouve dans les gorges de l'Ardèche. Elle parcours 32 km avant de se jeter à hauteur de Vallon-Pont-d'Arc dans l'Ardèche. On parle alors de vallée de l'Ibie (etendue de Villeneuve-de-Berg à Vallon-Pont-d'Arc). Elle se trouve en plein coeur de l'a réserve naturelle et est un sanctuaire pour de nombreuses espèces animales comme par exemple les castors que l'on peut observer en amont de notre campement mais aussi les loutres ou les vautours percnoptères.
Dans l'eau, des gardons et sur nos pieds les rayons du soleil. Malheureusement nous n'auront pas la chance d'apperçevoir l'un des deux couples d'aigles de Bonelli qui nichent au creux de la falaise. Néanmoins nous avons pu entrevoir de nombreux indices sur la présence des lapins de garenne. Cette espèce est réintroduite dans la zone pour permettre la réinstallation des aigles.
Peu d'anmaux observés en somme mais de longues heures passées à lézarder au soleil ...
L'érosion de l'eau a délavé les roches mais aussi a par endroit crée des cuvettes naturelle où l'eau chauffe rapidement... rien de mieux pour optimiser la trempette !
Pour coller aux habitudes du blog, un peu de botanique:
1: Peut être une linaigrette (Eriphorum) mais je connais très mal le genre et ne m'avençerai pas plus.
2: Le buis (Buxus sempervirens) est courant dans les forêts françaises. Il est prisé pour son bois en ébénisterie mais est surtout connu pour sa longévité et sa résistance.
3: Voilà un plant de crépide (Crepis) mais dur d'en terminer l'espèce... peut être crépide à petite fleur (Crepis micranthas) ou crépide de Nice (crepis nicaeencis).
4: Un des arbre les plus connus, le figuier (Ficus carica L.). Outre pour ses fruits, il était réputé jadis pour son latex blanc à qui on prêtait de nombreuses propriétés. Tantôt médicament, tantôt poison, on trouve désormais cette sève dans certains plats algériens.
Passage éclaire au bord de la rivière Ardèche qui a donné son nom au département. Elle se jette dans le Rhône à hauteur de Pont-Saint-Esprit. Elle connaît de très violentes crues au printemps et à l'automne ce qui restreins la pratique de sports nautiques pendant ces deux saisons.
La sarriette vivace (en haut à gauche : satureja montana) embaume l'air et la végétation est proche de celle de la garrigue. La garrigue est connu pour être essentiellement composée d'arbustes et de buissons denses ainsi que de plantes aromatiques adaptés aux sols secs.
Arrivée au col du Serre de Tourre à 323 mètre. Le belvédère donne une vu imprenable sur les gorges et un des détoures de la rivière. Dans un recoin de la forêt se trouve la grotte de Chauvet, inaccessible au public. Depuis 2014 elle est inscrite au patrimoine de l'UNESCO.
C'est dans le centre de Vallon-Pont-d'Arc que l'on trouve le musée de la Grotte de Chauvet. Actuellement une reconstitution de celle-ci est en cours et bientôt sera ouverte au public. On y retrouve la reproduction des plus anciennes peintures humaines connues au monde. Certaines ont 36 000 ans.
Mais bien que plaisante l'Ardèche n'a pas le charme de la mer... nous voilà repartis sur la route.
60 000 et des poussières...
60 000 et des poussières... voilà que me fait bien plaisir. Avec un peu plus de 90 000 pages vues, vous êtes toujours plus nombreux à passer par là. Ces derniers temps je reçois pas mal de messages privés, de questions et de propositions de projets ... continuez j'adore ça ;)
De ce fait, je vous réserve dans les semaines à venir, du moins je l'espère, quelques beaux billets collaboratifs.
Bref, je suis ravie et j'espère que l'aventure Canalblog n'est s'arrêtera pas de si tôt. À venir, un petit billet sur le jardin et ses alentours dans la rubrique "Jardin Secret".
La Renarde.
Anniversaire du blog!
Hé voilà, La Renarde des Alpes (anciennement nommé Grimmoires et Carnets) fête ses deux ans !
Que d'aventures et de rencontres riches et émouvantes depuis son lancement !
Entre la sortie au Pays Basque avec le club des cèpes (que j'espère pouvoir renouveller), l'interview dans MadMagz, les petits succès sur Paperblog et j'en passe (sans oublier mon travail dans le quel je me plaît !), je peux dire que je ne suis pas prête d'arrêter. D'ailleurs, de nombreux projets sont sur le gaz (dont le retour de la revue en ligne) !
Et bien sûr, merci aux 52 336 visiteurs avec qui je peux partager mon amour de la Nature !
Petite rétrospective pour l'occasion:
Interview et publication de la Web Revue sur Madmagz.
Auteur du Jour sur Paperblog, départ en Wwoofing en Gironde.
Week End au Pays Basque avec le Club Des Cèpes.
Wwoofing en Giironde, départ pour lesVendanges dans le Beaujolais.
2 ans de Satistiques du Blog.
Stage au chaudron Magique de Velanne.
Il y a tant encore à faire figurer ici ! Que d'aventures et de souvenirs ! Merci à tous !
Anniversaire du blog.
Voilà, "Grimoires et carnets" le blog a aujourd'hui 1 ans.
Un an de champignons, d'insectes, de fougères, de fleurs, de truffes, de grenouilles, de chats, de plantes médicinales, de cèpes, de chevreuils et de bien d'autres choses encore.
Un an à partager ma passion, la nature, au fil des saisons, des nuages et du temps.
Un an à dessiner dans mes grimoires, à photographier ce qui m'entoure, à découper du papier, à manier les perles et à fabriquer avec mes petites mains.
Bref un an de partage sur ce site avec 84 nationalités différentes et plus de 20000 visiteurs.
Merci
Pour cette année, morilles et morillons seront au programme et l'horizon ne se portera plus uniquement sur les Alpes. Il y aura moins de montagne certes mais sûrement de belles choses à voir comme sait nous l'offrir dame nature.
Il est aussi temps de finir les grimoires qui traînent, d'ajouter les photos manquantes et de commencer les nouveaux carnets fraîchement acquis.
Bref, une nouvelle année de projets et de découvertes.
Et qui sait, peut être qu'un jour je pourrais rajouter le célèbre dahut à mon inventaire.
16 000ème visiteur.
Youpi, nous voilà 16000.
Quelle joie d'être aussi nombreux. En espèrant qu'en cette année 2013 de nombreuses découvertes s'offrent à nos yeux. Champignons, grenouilles, fleurs, arbres, lichens et bien d'autres choses encore nous sont promises.
Et en attendant le printemps...
Et un peu de géographie sur les dernières 12h.