Le renard.
Et pour tenir compagnie à ma renarde, un sage et tranquille renard, tiré lui aussi de mon carnet sur "les pensées d'une femme renard".
La renarde.
Une des renardes, tirée de mon carnet "les pensées d'une femme renard".
Je n'ai toujours pas de tablette numérique, mais je commence mieux à me familliariser avec photoshop bien que je l'ai peu utilisé ces derniers mois. J'hésite toujours entr le style "flou" du corps ou plus "marqué" comme pour la tête et la gorge.
Table d'automne.
Table de fête pour un soir d'automne.
Feuilles et pommes ornent la table.
En centre de table, une liane torsadée de glycine.
Et la belle vaisselle est à l'honneur.
Sans oublier la nappe aux motifs fleuris.
Toujours dans l'esprit d'antan, une lanterne prend place sur la table.
Du rouge, du jaune, du orange, toutes les couleurs sont là.
Et voilà de quoi remplir les assiettes!
Madeleines à la fleur d'oranger.
Le jardin aux couleurs de l'automne.
Enfin la jardin ressemble à un jardin d'automne.Oublié la neige et le froid polaire, place aux feuilles mortes, au parfum de l'humuse et aux rayons rasants du soleil.
C'est aussi le moment où on reçoit chez soi, d'ici peu les fêtes de fins d'années et les grands rassemblement de famille auront lieux.
Bouquet de fleurs passées, quelques brins de berces séchés dans la grange, deux ou trois autres de monnaie des papes, un grand pot de fer ...
...et le tour est joué.
Il ne reste plus grand chose des feuilles de la vigne vierge de la façade, mais c'est fruit sont à point pour les oiseaux qui en rafolent.
Les feuilles commencent doucement à tout recouvrir, comme la neige l'a fait précédemment.
Et puis au milieu de tout ça, ils y a les chats.
Espiègles et malins, ils sont les premiers pour les espiègleries.
Par contre pour redescendre, c'est autre chose!
Qui l'aurait cru, il reste de nombreuses fleurs. La lamier tacheté est fidèle au poste.
Seigneur pissenlit fait même une poussée timide. C'est un symbole de vie, de connaissance, de surprise, de naissance et de joie. Voilà de quoi égayer la saison.
Ce lichen jaune moutarde sur l'honorable noyer du jardin résulte, comme pour tout les lichens, du mariage heureux d'un champignon et d'une algue. C'est union peut donner une grande palette de couleurs et de formes.
Avec le redoux, les étourneaux sont venus s'intaller pour quelques temps près du jardin pour profiter des dernières baies, noix et noisettes.
Gerbe d'or n'est décidément pas prête à laisser s'envoler ses chatons (graines retenues par des toupets de duvet), voilà près d'un moi qu'elle demeure sous cette état de coton.
Toujours sur le vieux noyer, une percée dans son tronc (à gauche) laisse s'échapper sa sève, odorante, peut collante et brune. A droite une autre espèce de lichen a prit place sur le tronc. Les lichens sont de bon indicateurs de la pureté de l'air, en effet ils supportent très mal la pollution.
Mais il faut bien avouer que la plupart des plantes sont en graines.
Près et dans le potager, le constat est mitigée, l'arbre à papillon (1) et les framboises (2) sont passées. A contrario, le viburnum (3) et le photinia (4) sont en bourgeon et s'aprètent même à fleurir.
Les feuilles son tombées, la pelouse en est couverte, la terrasse et les marches aussi.
Elles finiront comme leurs consoeurs sur le tas à composte.
Il est parfois difficile de différencier les divers plantes officinales de nos campagnes, surtout quand elles ne sont pas en fleurs.
1:l'épiaire des bois, appelée ortie puante, se reconnaît à la forme de ses feuilles lancéolées proches de l'ortie (mais moins découpées) qui elles ne possèdent pas de poils urticants. Lorsqu'on les froissent, elles dégagent une odeur désagréable qui au bout de quelques minute devient proche de celle du cèpe.
2:l'ortie est facilement identifiable, elle est urticantes en raison de ses poils crochetés qui se trouvent sur la face exposée des ses feuilles très découpées et allongées. La tige elle aussi a ces propriétés. Roulées sur elles mêmes, dans le sens contraire des poils, les feuilles peuvent être croquées crues sous les molaires sont être irritantes. Elles ont un goût d'épinard.
3:la menthe peut être confondue avec la mélisse officinale, cependant, ses feuilles sont légèrement moins découpées, elles sont plus alternes et surtout quand elles sont frottées, elles ont l'odeur caractéristique de la menthe.
4:la mélisse officinale, appelée citronnelle, à des feuilles plus grossièrement nervurées que la menthe et légèrement plus découpées, qui jaunissent plus facilement en leur extrémité. Lorsque l'on froisse les feuilles, elles dégagent une odeur de citron et de poivre dont les moustiques ont horreur.
Deux autres herbacées sauvage du jardin, qui au printemps et au début de l'été donne de jolies fleurs roses, le géranium petit Robert à gauche, et le lierre terrestre à droite qui est un bon comestible souvent jugé comme une mauvaise herbe.
Et le lierre rampant revient incessamment se glisser dans les fentes des piquets de bois de la clôture.
L'activité mycologique est un peu au rabais ces temps -ci, néanmoins ont peut admirer encore de très beaux champignons comme ces russules de Sardoine, au pied rose vif, aux lamelles blanc-crème et au chapeau violet. Une explosion de couleur.
Les choux sont à terme est déjà sont-ils victimes des potages et autres gratins.
Bref, la terre n'est pas encoreen sommeil, animaux et végétaux 'nont pas dit leur derniers mots encore.
Les insectes quoi que discrets sont visibles, que ça soit par leur sillons dans le bois comme à gauche, ou leurs sorties occasionnelles comme à droite avec ce jeune grillon sortie depuis peu de son oeuf qui ira se terrer pendant les froid de l'hiver avant de profiter des bons verres de terre (sa nourriture préférée) au printemps.
Et puis il y a dame chat, qui aimerait bien se régaler d'un petit étourneaux qui fait le guet parmi les feuilles mortes.
Autre champignon à la fête, le coprin chevelu, appréciés des amateurs de champignons pour la finesse de sa chair.
Ces trois spécimens sont à point, ils sont jeunes, fermes et leurs chair et lamelles sont d'un blanc immaculé.Ils sont poussés si vite qu'ils ont gardé un chapeau de terre.
Avec le froid les mouches et les larves n'agressent plus les champignons qui sont donc peu véreux, c'est le moment d'en profiter!
Il y a également les tramètes versicoles, qui elles ne sont pas comestibles à part si vous aimez manger du bois.
Cette semaine elles ont encore changées de couleurs, du marron elles sont passées par le bleu, le vert, le rouge, le blanc, mais néanmoins, elles restent fidèlement accrochées à leur souche de pommier.
Les roses essayent une timide poussées, contrairement à la lavande qui a bien compris que le temps des fleurs pour elle, c'est fini.
Désormais il ne reste plus qu'à couper les branches mortes, charrier les feuilles tombée et à attendre l'hiver.
L'aubépine, le miracle du cheveu.
Ce soir, je vous propose un bon remède contre les cheveux patraques, blancs, fatigués par la pollution, bref, contre les tracas de vos jolies tiffes. Un atelier simple pour de bons résultats.
L'aubépine est un arbuste qui forme de belles haies dans nos campagnes. Ces fleurs blanches sont mellifères (augmente la production de miel des abeilles). Ce sont elles que l'on utilise, de préférence fraîches, mais l'ensemble de la plante séchée comme on la vend en para-pharmacie fait l'affaire.
L'aubépine n'est pas toxique, même à forte dose, son utilisation régulière et fréquente est conseillée. L'infusion de la plante puis son application à froid comme eau de rinçage à pour effet d'empêcher les cheveux blancs de jaunir, calme les irritations du cuir chevelu, dégraisse les cheveux et les rends brillants.
Il est conseillé aussi de consommer la plante infusée pour ses vertus calmantes, cardio-toniques, ses oligo-éléments et ses capacités à décongestionner le foie. Ce ne sont que quelques uns de ses bienfaits reconnus par la médecine. A ce titre on peut facilement se procurer en pharmacie des gélules d'aubépine comme anti-stress.
Loups-Garous, d'un mythe à la fascination.
Voilà un bien bel ouvrage qui part à la recherche de nos amis loups garous dans l'imaginaire collectif. Illustré de gravures et de photos, il retrace les différentes évolutions de cet être étrange de légende.
Chapitre 1:
Le loup-garou: la bête en nous
1: Odin, le père des divinités.
2: Non renseigné.
3: Le Bisclabret.
4: Le loup à la porte, le secours d'Erin.
1: Le loup voleur dans la nuit; gravure de Jules Verne: roman P'tit bonhomme (1893).
2: La Rage.
3: L'enfant-loup indien, Ramu.
4: Le Bisclaret.
1: Du lycaon au loup, punition de Zeus.
Chapitre 2:
Le loup-garou dans la culture populaire
1: Selene, Underworld (2003).
2: Timothy et sa mère, Skinwalkers (2006).
3: Loup-garou contre la créature de Frankenstein, Frankenstein rencontre le loup-garou (1943).
4: Remus Lupin, Ron et Harry, Harry Potter et ke prisonnier d'Azkaban (2004).
1
1: "La main gauche de Dieu", Van Helsing.
Chapitre 3:
La femme louve
1: Sonja, Skinwalkers (2006).
2: Aiden, Sang et chocolat/Le Gôut du sang (2007).
3 et 4: Danielle Dax, La Compagnie des loups (1984).
Chapitre 4:
Les loups-garous: fiction pou réalité?
1: Illustration du XIXe d'un guerrier tuscarora, membre du clan des loups.
2: Gravure du XIXe d'une attaque de loups sur des colons de l'Illinois.
3: Gravure illustrant Le Loup devenu berger de Gustave Doré.
4: Gravure des mythiques jumeaux Romulus et Remus, fondateurs de Rome.
1: Gravure de 1832 d'un loup garou qui emporte un enfant.
2: L'histoire d'un cauchemar, gravure de 1590, illustre la vie du meurtrier Peter Stubbe, présenté sous les traits d'un loup-garou.
3: métamorphose de la servante en Livoine (Estonie et Lettonie).
La bête en homme: Charles Le Brun au XVIIe illustre comme avec cette gravure nommée Loup-garou, la doctrine de l'anthropomorphisme courante à l'époque.
Chapitre 5:
Quelques techniques pour venir à bouts des loups-garous
Belles plantes mais mortelles, les aconits lycoctonum renferment un puissant poison qui permet dans des baumes aux sorcières de voler et de changer de forme. C'est un répulsif à loup-garou. Planche de Basile Besler, 1613.
"Mi-hommes, mi-monstres, les loups-garous hantent les salles obscures et les récits d'épouvantes depuis des décennies. Loin des clichés décrivant une bête sauvage et sanguinaire hurlant à la Lune, l'homme-loup se révèle une créature complexe, capable de tendresse autant que de cruauté.
Consumé par l'angoisse à la seule idée des attaques bestiales dont il se sait l'auteur, incapable d'aimer de peur de blesser l'aitre, cet anti-héros, certes dangereux, suscite la fascination d'un public toujours plus enthousiaste.
Au-delà de la fiction, l'auteur, Jon Izzar, s'emploie à redécouvrir témoignages historiques et légendes du monde entier - des mythiques métamorphes aux Skinwalkers indiens, sans oublier les multiples victimes de sombres malédictions. En s'appliquant à privilégier les faits, tels les exemples d'enfants élevés par des loups ou les symptômes médicaux relevant de la lycanthropie, Loups-Garous révèle les liens troublants unissant l'homme et la bête, en nous confrontant au loup qui sommeille en chacun de nous."
Ash: Anguis Seductor Hominum.
Voilà mon coup de coeur de l'année, une BD, certes, mais digne d'un roman tel que "La Bible selon Satan".
L'univers de François Debois y est riche en détails et les couleurs de Kristel reflètes à merveille les sentiments des personnages.
La trame de l'histoire est rudement bien ficelée:
dans une période située aux alentours du 17éme siècle, un drôle de scientifique réveil dans une crypte une fillette endormie, Ash.
Amnésique, c'est aidé par une bande de jeunes brigands qu'elle tentera de savoir qui elle est.
C'est une très belle histoire, où se mélange l'alchimie et la magie. C'est également un pamphlet contre la religion et son idéalisation, sa vision unique, c'est un autre regard.
Les personnages sont très attachants, comme "la bande des orphelons".
Les dessins sont fins, délicats et magnifiques et contre balance avec les discours parfois crus et la violence du quotidien et des personnages qui font autorité.
Bref, Ash c'est un petit bijoux à avoir dans sa bibliothèque tel que "Silence" de Comès ou "Le grand pouvoir du Chninkel" de Rosinski et Van Hamme (là aussi une relecture de la Bible).
A savoir que c'est la première BD de l'illustratitrice, jolie performance. Le tome 2 est sorti lui aussi et au vu de la critique, il semblerait qu'il soit à la hauteur des espérances des lecteurs.
Pont de Beauvoinsin.
On ne prend pas toujours le temps de regarder et de redécouvrir les lieux de notre quotidien. Ici Pont de Beauvoisin, la cité du meuble, séparée en deux part le Guiers. Ses berges auraient été peuplées vers -3000/-2500 av JC.
Le célèbre brigand Mandrin y aurait séjourné et même partait-il, caché un trésor.
A vos péles!
Ce texte vient du site http://www.histoiresinsolites.com/articles.php?lng=fr&pg=44 où est indiqué l'emplacement de nombreux autres trèsors à découvrir.
"Le bandit Mandrin (1725-1755) s’était attaché à piller systématiquement les biens et le numéraire des Fermes générales. Itinérant, il avait pris l’habitude de cacher ses butins dans des endroits qu’il nommait ‘ses coffres-forts’. Plusieurs d’entre eux ont été localisés.
Ainsi, une cassette serait encore enterrée dans le jardin de sa maison natale à Saint-Etienne-de Saint-Geoirs (Isère). A Verel-de-Montbel (Savoie), il fora une cache dans les hautes roches qui entoure le village et y glissa une bourse remplie de pierres précieuses. Il enterra 25 000 livres en or en pleine forêt du Vercors là où Mandrin aimait à prendre ses quartiers. Lors de sa dernière chevauchée, il fut contrait de dissimuler à une lieue au-dessus d’Ambert (Puy-de-Dôme) le précieux chargement de quatre de ses chevaux qui, exténués, ralentissaient la course. On parle aussi de caches aménagées dans le vieux château de Rochefort (Savoie) où il fut capturé en 1755 avant d’être exécuté."
Pétales de roses pour pot-pourri.
Heureusement qu'il y a les ordinateurs de la FAC. Voici le retour des articles et des photos!
Avant que le froid ne ferme les fleurs pour le reste de l'hiver, il est bon d'en récolter les pétales odorantes pour réaliser un bien joli pot-pourri et parfumer la maison pendant la période des fêtes.
Quelques pétales de roses de deux essences différentes, quelques morceaux de peaux d'oranges et de mandarines grillées sur un coin du poêle, un petit peu de cannelle et de la fleur d'oranger et voilà les senteurs de noël en pot.